Curry exorcise son surnom de ‘diable’ avec une foi inébranlable
- NBA
- septembre 7, 2024
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Curry exorcise son surnom de ‘diable’ avec une foi inébranlable
Le basketteur américain Stephen Curry, connu pour ses prouesses sur le terrain et ses tirs à trois points dévastateurs, a récemment fait l’objet d’une appellation peu conventionnelle. Lors des Jeux Olympiques de Paris, sa performance exceptionnelle a conduit les Français à le surnommer le ‘diable’, un sobriquet en contradiction avec ses convictions religieuses profondes.
Au cours de sa carrière, Curry a acquis plusieurs surnoms tels que El Chef, l’Asesino con Cara de Bebé, la Antorcha Humana ou encore Threezus, en référence à son habileté à marquer des triples. À 36 ans, il continue d’ajouter des surnoms à sa collection, mais le dernier en date a une résonance particulière.
Durant les Jeux Olympiques de Paris, après un démarrage modeste, Curry a pris les commandes de l’équipe américaine, menant celle-ci à la victoire et décrochant l’or. Ses performances remarquables en demi-finale contre la Serbie, avec 36 points, et en finale face à la France, avec 24 points dont 8 triples réussis sur 13 tentatives, ont marqué les esprits.
C’est cette dernière exhibition qui a inspiré les Français à le renommer en ‘diable’, après avoir vu leurs espoirs de médaille d’or anéantis par l’athlète. Curry, cependant, a exprimé son rejet de ce surnom, malgré l’amusement qu’il a pu susciter chez lui initialement. Profondément croyant, il préfère repousser toute association avec une telle image.
L’image de Curry en tant que ‘diable’ contraste fortement avec le slogan qu’il a popularisé pendant les jeux, « bonnes nuits », accompagné d’un geste de la main qui semblait dire à ses adversaires qu’il était temps d’aller dormir. Pour Curry, sa foi et ses valeurs personnelles restent au premier plan, peu importe les surnoms ou les images que l’on peut lui attribuer.
En conclusion, Stephen Curry continue de démontrer qu’il est bien plus qu’un joueur de basket exceptionnel. Sa foi et ses principes sont des éléments centraux de son identité, bien au-delà des surnoms et des perceptions publiques. Son rejet du surnom de ‘diable’ est un témoignage de son engagement envers ses croyances, un exemple de sa force de caractère tant sur le terrain que dans la vie.